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Hedwige + la mort est une peine que personne ne peut guérir.

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Hedwige Schmidt
COUPER une tête, deux repousserons.
Hedwige Schmidt

COUPER une tête, deux repousserons.
Hedwige Schmidt
Age : 38
Métier : Agent d'HYDRA, infiltré dans la police
Implantation : 03/07/2017
Messages : 120
Ven 25 Aoû - 22:47
Hedwige Schmidt


prénom nom : Hedwige Schmidt. + date de naissance : Née le 19 Mars 1986. + lieu de naissance : Oberstdorf, Bavière. + âge : 31 ans. + nationalité : Allemande. + métier : Lieutenant d'HYDRA, infiltré dans la police. Race : Inhumaine.

statut civil : Célibataire. + orientation sexuelle : Hétérosexuelle.

caractéristiques (pouvoir, particularités) : Cryokinésie (Hedwige a le pouvoir de créer et contrôler la glace, pratiquement à volonté. Son pouvoir se rapproche assez de celui d'Elsa dans le film Frozen mais il lui est impossible de s'en servir trop longtemps sinon elle tombe en hypothermie. Elle est insensible au froid mais souffre de la chaleur, sa peau est blanche et ne bronze jamais. De plus, ses lèvres sont souvent violettes quand elle utilise son don trop longtemps. Cela lui demande énormément d'énergie et engendre des migraines et parfois des saignements de nez. Cela peut aller jusqu'au coma bien qu'elle n'ait jamais poussé son don à cette extrémité.) + Excellente combattante en corps à corps + Très bon maniement des armes à feu.

camp : Bien. + groupe : HYDRA. + célébrité : ft Peyton List.
Froide : Hedwige n'est pas l'exemple même de la jeune femme accueillante ou même ouverte aux autres. C'est plutôt tout le contraire. En accord avec son statut d'inhumaine contrôlant la glace, elle peut être d'une froideur à toute épreuve. Il est rare de la voir rire et les rares qui ont essayé de la faire sourire ont échoué. C'est une jeune femme qui ne décroche que rarement les mâchoires pour parler à quelqu'un et quand elle le fait, elle utilise un ton qui glacerait quiconque lui aurait adressé la parole sans un besoin urgent.
Pessimiste : Elle voit facilement le mauvais côté des choses et ceux qui essayent de lui témoigner un peu d'optimisme ont échoué. Elle n'a que très peu d'espoir que cela soit concernant sa vie ou celle de l'humanité. Elle voit toujours le verre à moitié vide, c'est sa marque de fabrique.
Bordélique : Autant être honnête tout de suite. Hedwige vit dans un bordel sans nom. Elle laisse tout trainer et n'aime pas ranger. Mais elle aime son bordel et retrouve toujours tout ce qu'elle cherche. Ce qui n'est pas le cas quand elle range. Elle a un petit bordel organisé comme elle le dit si bien.
Lunatique : Il est assez difficile de cerner Hedwige et surtout son humeur. Elle change beaucoup, lunatique qu'elle est. Elle peut être d'assez bonne humeur le matin et d'une humeur exécrable le soir. Surtout si vous avez le malheur de lui parler de sa famille, c'est un sujet tabou. Autant être clair, Hedwige n'est que rarement de bonne humeur.
Rigide : Dans le genre rigide, Hedwige en tient une couche. Elle ne connait pas la clémence et condamne facilement les autres pour une petite erreur. C'est en partie pour cela qu'elle travaille seule et qu'elle refuse de la compagnie. Quand on est seule, on ne peut pas être trahit, voilà ce qu'elle répète toujours à qui veut bien l'entendre.
En réalité, Hedwige souffre énormément. Elle a érigé une carapace de glace entre les gens et son coeur et n'acceptera jamais que quelqu'un passe cette barrière. Alors, elle accentue ses défauts, pensant que personne ne sera capable de s'attacher à elle avec tout cela. Elle a trop souffert à la mort de sa mère qu'elle a décidé qu'elle ne dépendrait de personne à l'avenir.
Généreuse : Même si rares sont les personnes qu'elle apprécie, c'est une jeune femme qui sera toujours capable de se plier en quatre pour satisfaire ses proches. Elle voudra toujours les rendre heureux et fiers, même si pour cela, elle doit se détruire, comme c'est actuellement le cas avec son père.
Réaliste : Hedwige a la tête sur les épaules, elle ne se laissera jamais embobiné par de doux mots. Qualité ou défaut? Selon la jeune femme, c'est une qualité. Elle ne se laissera ainsi jamais mené par le bout du nez et aura toujours la tête sur les épaules. Ce n'est pas une rêveuse, elle a les pieds sur terre et sait ce qu'elle doit faire.
Courageuse : Elle n'hésitera jamais à se mettre en danger pour protéger les personnes qu'elle aime. Ils sont certes rares mais ils existent. Certains pourraient la considérer comme casse-cou mais elle analyse toujours rapidement la situation avant de se lancer à l'aventure. Elle pense avant tout à la sécurité de ses proches mais également à la sienne.
Attachante : Les rares personnes qui ont réussi à franchir la barrière autour du coeur de la jeune femme ont eu la chance de découvrir une jeune femme terriblement attachante, une petite fille qui a toujours besoin d'être rassurée et qui est du genre câline.
Déterminée : Hedwige met toujours du coeur dans tout ce qu'elle fait. Elle est du genre têtue et arrivera toujours à ses fins, même quand il s'agit de ne pas être apprécié. Alors si vous voulez la faire changer d'avis, levez vous tôt car vous allez avoir du travail.

Histoire
Avant de vous parler de moi, je dois vous parler de ma famille… Et quelle famille. Les Schmidt font partis d’une très ancienne famille allemande et croyez-moi, je ne suis pas spécialement fière d’en faire partie. Par le passé, nous avions tout eu dans la famille que cela soit des paysans ou des personnes anoblies par les différents souverains. Nous étions une famille appréciée à Oberstdorf, lieu de naissance de tous les enfants Schmidt et lieu d’habitation de la famille. La Bavière, terre natale d’Elizabeth, reine d’Autriche. Mais également terre natale de Johann Schmidt, mon arrière-grand-père. C’est depuis lui qu’il ne fait pas bon dire que l’on est un Schmidt. Mon arrière-grand-père a très rapidement rejoint Hitler avant la seconde guerre mondiale. Il avait toujours prôné l’existence d’une race supérieure et il s’était retrouvé dans le discours du dictateur. Haut dignitaire nazi, il tenta de devenir le premier super soldat grâce au super sérum d’Erskine. Mais cela n’eut pas le résultat voulu… Il devint crâne rouge et prit le commandement d’une armée secrète, HYDRA. On ne sut jamais ce qu’il advint de lui mais un jour mon arrière-grand-mère, Irène, reçu une lettre lui annonçant la mort de son époux. Elle éduqua seule ses deux enfants, Gwendal et Angela, avec l’aide de ses parents. Gwendal, mon grand-père, hérita des idées perverses de son père et ce fut quasiment normal qu’il rejoigne lui aussi l’organisation HYDRA. Il y fit la rencontre de celle qui deviendra ma grand-mère, Birgit, et ils eurent trois enfants qui entrèrent assez rapidement à HYDRA à leur majorité. L’un d’entre eux, Gerhard Schmidt, tomba amoureux d’une jeune américaine venue en voyage à Oberstdorf et contre l’avis de sa famille, il l’épousa. Cette femme, Amélia, eut beaucoup de mal à accepter l’avis de la famille de son époux concernant une possible race supérieure et concernant également HYDRA. Mais elle l’aimait et passa outre par amour pour lui. Deux ans après le mariage, Amélia tomba enceinte et son époux fut clair, l’enfant rejoindrait les rangs d’HYDRA à sa majorité, tradition familiale oblige. Elle eut beau essayer de parlementer, son époux ne lui laissa guère le choix et neuf mois après, elle donnait naissance à une petite fille.

C’est à Oberstdorf, dans la maison familiale, que j’ai vu le jour. Ma venue était très attendue par toute la famille mais plus encore par mon père. Mais ma naissance ne fut pas la joie que ma mère aurait aimé que cela soit. Après des heures et des heures à souffrir, on lui annonça que son enfant était une petite fille. Hors, la tradition voulait que le premier né de la famille Schmidt soit un garçon. C’est ainsi que l’entente entre mon père et ma mère commença à se détériorer. Mon père essaye de m’inculquer son éducation, la haine de l’autre et la supériorité de notre race. Mais ma mère essayait toujours de s’y opposer, déclenchant des disputes dans la maison avec mon père mais également avec le reste de la famille. J’avais cinq ans quand je surpris une discussion entre mon père et ma grand-mère, assez choquante pour une petite fille comme moi. Je n’oublierais jamais les mots de ma grand-mère, qui demandait clairement à mon père de se débarrasser de cette femme, qu’elle n’était pas digne de lui et de cette famille. Mon père lui répondait toujours qu’il voulait bien mais qu’il ne pouvait pas faire ça pour la fille de cette femme. Il ne m’avait jamais considéré comme sa fille, je le savais. Ma grand-mère leva la main sur mon père en disant qu’il était hors de question de se débarrasser de moi et que je serais un agent d’HYDRA, comme tous les membres de cette famille. Ne comprenant rien, je pris le parti d’aller voir ma mère pour lui parler. Si elle me consola en disant que jamais elle ne m’abandonnerait, elle fut littéralement sous le choc de ce que ma grand-mère disait. Le soir, une nouvelle dispute éclata. Quittant mon lit, je me glissais au rez-de-chaussée avant de voir mon père frapper ma mère. Ce fut le seul et unique coup qu’elle prit car mes oncles arrivèrent rapidement et mirent ma mère dehors. Ils étaient indifférents à ses cris qui demandaient à me dire au revoir, à me voir une dernière fois. Je remontais rapidement dans ma chambre, me cachant sous ma couette. Mon père monta en disant que plus jamais ma mère ne viendrait corrompre mes pensées avec son idéologie de faibles. Je hochais simplement la tête avant de m’endormir. Une fois le divorce prononcé, deux mois après que ma mère ait été mise à la porte, ce fut mon père qui eut ma garde, le juge ayant été corrompu par ma grand-mère et l’argent familial. J’ai passé dix ans à vivre entre la maison familiale et l’appartement miteux de ma mère. Elle avait un droit de visite mais elle ne voulait pas remettre les pieds dans la maison familiale, préférant que je vienne la voir chez elle. Elle continua à m’inculquer ses valeurs de tolérance et d’amour de l’autre, contrecarrant les plans de mon père. Mais un jour, cette visite ne se passa pas comme prévu.

Ma mère avait voulu que je passe après ma journée d’école, dans le plus grand secret. J’avais alors prétexté une soirée chez ma meilleure amie, issue d’HYDRA comme le voulait mon père, pour prévenir que je rentrerais tard. Dans le bus, je me demandais ce que voulait ma mère, pourquoi elle m’avait demandé de passer la voir pour me parler. J’avais trente minutes de trajet en bus entre le collège et le quartier malfamé où ma mère avait trouvé un appartement qu’elle occupait depuis dix ans désormais. Arrivée en bas de l’immeuble, j’eus la flemme de sortir les clés que ma mère m’avait donné dans le plus grand secret alors je décidais de sonner à l’appartement. Mais mon appel fut sans réponse. Je réessayais une deuxième fois mais toujours rien. Pestant contre ma mère qui devait certainement dormir dans son canapé. Je montais au douzième étage par les escaliers, l’ascenseur étant encore une fois en panne. C’était souvent le cas dans cet immeuble mais ma mère était très sportive alors elle montait rapidement l’escalier. Ce qui n’était pas mon cas bien que je sois sportive. Mais j’avais commencé à fumer dans le grand secret alors je perdais petit à petit mon souffle. Ma mère était dans la confidence mais elle n’acceptait que peu cette idée. Arrivée au palier de ma mère, je voulus ouvrir la porte mais elle était fermée. Ce qui était rare quand je venais voir ma mère. Elle avait peut-être oublié que je passais, étrange alors qu’elle m’avait appelé ce matin… Je toquais plusieurs fois à la porte, pestant à voix haute contre ma mère. La voisine sortit de son appartement en disant qu’elle n’avait pas vu ma mère depuis dix heures ce matin, heure de retour de son footing quotidien. Soudain inquiète, je sortis mes clés pour ouvrir la porte. Dans le salon, aucun signe de ma mère et tout était étrangement bien rangé. Cela ne ressemblait pas à ma mère de faire du ménage comme ça, elle était plutôt bordélique. Trait de caractère que je tenais d’elle d’ailleurs. Je n’étais pas très ordonnée comme jeune fille, chose qui énervait souvent ma grand-mère. Je ne comprenais pas pourquoi ma mère ne venait pas m’accueillir, pourquoi elle ne m’avait pas entendu frapper ni sonner quand j’étais en bas. J’allais dans la cuisine, peut-être qu’elle avait fait un malaise. Là encore, aucune trace de ma mère… J’étais terriblement inquiète mais je n’imaginais pas à quel point j’avais tout perdu. J’allais jusqu’à la chambre de ma mère, pensant qu’elle était certainement couché et qu’elle avait mis des boules quiès. Ouvrant la porte de la chambre, je découvris une scène de guerre. Le mobilier était renversé et du sang avait éclaboussé les murs. Le corps de ma mère se trouvait sur le lit, ses yeux fixaient la porte d’entrée et sa gorge était tranchée. La voisine m’avait saisi le bras quand elle avait découvert le drame mais je me défis de son étreinte, me précipitant sur le lit, essayant d’empêcher le sang de couler de son cou. J’avais beau savoir qu’il était trop tard, je ne me voyais pas ne rien faire pour sauver ma mère. A genoux au-dessus de ma mère, j’appuyais fortement mes mains sur sa gorge. Je criais tout ce que je pouvais, disant à ma mère de revenir et de ne pas m’abandonner, de ne pas me laisser aux prises avec ma grand-mère et mon père. La voisine avait dû appeler les secours car ce fut un pompier qui m’écarta de ma mère. Je me débattis avant d’être confié à une unité de secours psychologique. Alors que je gardais le silence, mon père pénétra dans la pièce, furieux de savoir que je lui avais menti. Je compris alors ce qu’il c’était passé. Il avait fait éliminer ma mère… Je n’arrivais pas à croire. Il y eu une enquête mais elle se solda par un non lieu, faute d’élément pour condamner un assassin. Mais je savais que mon père, voire ma grand-mère, avaient voulu se débarrasser de ma mère pour m’avoir sous sa coupe… Jamais je ne leur pardonnerais.

Après la mort de ma mère, mon père commença mon entrainement, voulant faire de moi un excellent soldat d’HYDRA. Mais si j’étais depuis mon enfance hermétique à cette idéologie, je l’étais encore plus depuis la mort de ma mère. Je n’arrivais pas à accepter que mon père l’ait fait supprimer, j’ignorais d’ailleurs pourquoi. Il fit de moi une parfaite petite combattante, je maitrisais les arts martiaux à la perfection ainsi que le maniement des armes. Mais j’avais dix-huit ans quand mon père fut muté aux Etats-Unis, il prenait la direction d’une autre branche d’HYDRA et je devais le suivre. On partit pour Washington et je découvris un monde qui était encore pire que tout ce que je pouvais imaginer. Les gens étaient complètement acquis à la cause d’HYDRA et voulait faire tomber une organisation qui luttait pour la paix: le SHIELD. Ma mère m’avait souvent parlé de cette organisation pour me rappeler que je ne devais jamais sombrer dans la haine. Je détestais HYDRA de base mais je me mis à haïr l’organisation quand mon père me demanda de prouver mon appartenance à l’organisation en tuant quelqu’un. Je n’avais pas été élevé par ma mère pour devenir une tueuse. Mon père amena alors la personne que je devais tuer et j’eus un coup au cœur en me rendant compte qu’il s’agissait de mon petit ami. Cela ne faisait que deux semaines que nous sortions ensemble mais je l’aimais. Mon père me tendit alors une arme en me demandant de tirer, de tuer cet homme si important pour moi. Je devais être entièrement acquise à la cause d’HYDRA, je devais ne penser qu’à HYDRA. Tremblante, je pris l’arme en essayant de parlementer avec mon père, essayant de sauver la vie de mon petit ami en essayant de l’intégrer à l’organisation. Mais il n’y avait aucune issue, mon père refusait que je lui sauve la vie alors il se glissa derrière moi tout en tenant l’arme. Il me murmurait à l’oreille de tirer, que cet homme ne méritait pas de vivre, qu’il était une menace pour moi. Il ajouta que personne ne pouvait comprendre ce que nous faisions et que les faibles n’avaient pas le droit de vie sur cette terre. Il me lâcha la main et je gardais l’arme braqué sur celui qui deviendrait bientôt mon ex petit ami. Mon père annonça que je devrais tirer quand il m’en donnera l’ordre. Je restais bien une dizaine de minutes à attendre que mon père ne donne l’ordre, sachant que si je tirais avant, je ne serais pas entièrement soumise. Et si je ne tirais pas, cela prouverait à mon père que son éducation n’avait pas fonctionné et qu’il allait devoir continuer ou m’éliminer. Alors quand il me demanda de faire feu, je sus ce que j’avais à faire pour que mon calvaire prenne fin. Je vidais alors le chargeur sur mon ex, le tuant d’une dizaine de balles. Le corps fut enlevé alors que mon père me félicitait pour mon obéissance avant de me déclarer apte pour le service. Il me confia alors à un agent d’HYDRA, John Garrett. Avec lui, j’entrais au SHIELD, l’organisation mondiale pour la paix qu’HYDRA voulait voir disparaître. Je fis alors une découverte qui me redonna du baume au cœur. Cette organisation, c’était tout ce que j’avais toujours désiré. Ma mère ne m’avait pas menti, je serais toujours chez moi au SHIELD. C’est ainsi que je fis la rencontre de Ward, un autre agent d’HYDRA infiltré dans une équipe d’agents dirigés par Coulson. Je n’ai jamais réellement saisi l’histoire de Coulson. Certains agents me disaient qu’il était mort mais je l’avais déjà vu bien vivant. Je fis alors la connaissance de l’équipe de Ward et notamment de Skye. Une jeune femme terriblement attachante qui m’aida beaucoup à trouver ma place au SHIELD. Elle-même était nouvelle et on s’épaula. Mais quand la présence d’HYDRA au sein du SHIELD fut rendu publique, je me rendis compte que ma couverture était grillée et que tout le monde savait que j’étais d’HYDRA. Je dus fuir pour ne pas être capturé et je retrouvais la base secrète d’HYDRA. La riposte s’enclencha et je dus me rendre à l’évidence d’une chose, j’étais bonne pour reprendre du service auprès d’HYDRA. J’avais tellement aimé faire le bien au côté du SHIELD que le retour à la réalité fut très difficile. Je croisais à nouveau Skye quand elle fut capturée par Ward et conduite à son père. Le regard qu’elle me lança voulut tout dire et je sus que mes chances de retrouver un jour le SHIELD étaient équivalente à zéro. Et cela me faisait beaucoup de mal. Car je savais que jamais Skye ne me pardonnerait d’être d’HYDRA et je ne me le pardonnerais jamais non plus. Après le fiasco de l’obélisque, mon père me rappela à lui et je fus bonne pour obéir à ses ordres, ne recroisant jamais la route de l’équipe de Coulson.

Un jour, ma vision du monde a changé. HYDRA avait récupéré des objets au fond de l’océan et je voulais voir ce que c’était. Avec un agent, on s’infiltra dans un box sécurisé de la base d’HYDRA et on trouva des cristaux mais n’avait pu en récupérer un seul. Mon père m’avait toujours formellement interdit de m’approcher de cet objet mais je voulais le voir de moi-même. J’ignore encore aujourd’hui si ce que j’ai fait fut une bonne ou une mauvaise chose. Je voulus prendre le cristal entre mes mains mais il sembla soudain s’illuminer et une déflagration d’énergie en sortie. Je sentis soudain quelque chose se glisser sur ma peau. L’autre agent hurlait, prévenant les autres agents qu’il y avait un problème. Je commençais doucement à mon transformer en pierre, j’étais incapable de bouger et je voyais la mort arriver. Mon père arriva rapidement et je vis à son regard que je l’avais déçu et que je méritais ma mort. Au moins, je serais libéré de sa pression, de mon obligation vis-à-vis d’HYDRA. J’acceptais la mort et je l’invitais à me prendre comme si j’invitais une vieille amie à boire un coup avec moi. Je fus rapidement changé en pierre, je sentais mon cœur s’emballer, j’avais l‘impression qu’il allait exploser. Soudain, je réussis à bouger les doigts. L’atmosphère se refroidit sensiblement, les agents avaient de la buée qui sortait quand ils respiraient. Petit à petit, la pierre se changea en glace jusqu’à ce qu’un mouvement de ma part la fasse exploser. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, j’aurais dû mourir comme l’autre agent qui était en pierre devant moi. Pourquoi étais-je vivante? J’eus droit à une batterie de test qui révélèrent que mon ADN avait changé, que je n’avais rien d’humain. J’étais devenu ce que l’on appelait une inhumaine, une personne avec un don. Une malédiction pour moi. Je dus subir un nouvel entrainement pour apprendre à contrôler mon pouvoir. La glace… Cela me correspondait bien quand même. J’étais glaciale avec tout le monde, refusant que l’on s’approche de moi. J’avais déjà failli geler un agent en le touchant alors je dû porter des gants pour éviter tout contact avec les gens qui m’entouraient. Mais mon père me trouva une autre utilité, j’étais désormais en première ligne pour affronter le SHIELD. C’est ainsi que je retrouvais Skye, elle aussi devenue inhumaine. On ne s’affronta pas directement mais je constatais que son don était tout aussi puissant que le mien. Je fus ainsi connu sous le nom de Vereist au sein d’HYDRA et du SHIELD. C’était le nom de code que mon père m’avait donné, cela signifiait glacée en allemand. Un nom de code qui annonce la couleur.


Elinou
Âge: 29 ans.
Comment as-tu connu le forum? J'en suis la gentille fondatrice, avec ma douce Iléanna.
Fréquence de connexion: Tous les jours.
Inventé, scénario, poste vacant: Inventé de toute pièce.
Style d'écriture: J'écris en Je.
Autre chose? Love sur vous.


Codage par Elinou
Hedwige Schmidt
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Hedwige Schmidt
COUPER une tête, deux repousserons.
Hedwige Schmidt

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Hedwige Schmidt
Age : 38
Métier : Agent d'HYDRA, infiltré dans la police
Implantation : 03/07/2017
Messages : 120
Ven 25 Aoû - 22:50
FrameWork
Quand Hive envoya tout le monde dans le FrameWork, mon père exigea que je sois intégré au programme parce qu’il y était envoyé et il refusait de me laisser derrière. C’est ainsi que je me retrouvais au Caire, contre ma volonté. Toute ma vie, j’avais suivi les ordres de mon père et ce n’était pas prêt de changer. Je voulais sa perte mais tant que je travaillais seule pour détruire HYDRA, je ne pouvais me permettre de faire le moindre faux pas. C’est avec une grande surprise que je me retrouvais au Caire, avec d’autres agents d’HYDRA, à nous demander ce qu’il allait bien pouvoir se passer. Je voulus me servir de mon pouvoir mais je découvris que je ne l’avais plus. Très désagréable découverte car je m’étais habituée à avoir ce pouvoir, il faisait partie intégrante de moi. Je retrouvais rapidement mon père mais on devait se rendre à l’évidence d’une chose, ce n’était plus le monde que nous connaissions. Mon père réussit à créer une union avec les Décepticons, une espèce robot extra-terrestre extrêmement violente. Il apprit rapidement que c’était eux qui détenaient les cristaux et il exigea d’en recevoir un pour me rendre mes pouvoirs. Après un nouveau passage par la brume, je fus à nouveau opérationnelle pour le combat. Il y a trois mois, mon père exigea que je reprenne mon rôle d’espionne pour un sujet important. Des rumeurs faisaient état d’un deuxième enfant Schmidt, né de l’union de mon père et de ma mère, cinq ans après ma naissance. J’étais sous le choc d’une telle annonce mais je n’y croyais pas. Je fis cependant mes recherches pour prouver à mon père que cette rumeur était fausse. Mais au fur et à mesure que j’apprenais de nouvelles choses sur ma famille, je devais me rendre à l’évidence d’une chose: ma mère avait bel et bien donné naissance à un autre enfant, une petite fille. Ma mère, cette inconnue. Agent du SHIELD, elle avait été en Allemagne pour faire tomber la famille Schmidt de l’intérieur. Son mariage avec mon père était orchestré par le SHIELD mais j’étais venu perturber sa mission. Et cinq ans plus tard, j’avais une petite sœur qui naissait à Londres avant qu’elle ne l’abandonne et ne revienne en Allemagne. J’étais littéralement sous le choc mais je ne pouvais pas annoncer à mon père qu’il avait effectivement un deuxième enfant, je ne voulais pas qu’elle vive le même enfer que moi. Mentant à mon père, je dus cependant dire la vérité à mon ami, Grant Ward. Il était comme un frère d’armes et j’avais besoin de me confier à quelqu’un, ce secret était trop important pour moi toute seule. J’ignore qu’il en a parlé à mon père, qu’il est au courant que je lui aie menti.
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